Beaucoup de noeuds, beaucoup d'hics Beaucoup de failles, beaucoup de fissures, beaucoup de rochers Beaucoup de mégères de vieilles sorcières Beaucoup de imbeciles, beaucoup de pourritures idiotes Oh, quelle barbe! Quelle corvée Dans les plaies, tu retournes le couteau Tout c'est un stress et de pllus Bien quelqu'un est toujours responsableç Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça oublie ça, oublie ça, Oh te rend malade, te rend écœuré Te fait tricher, piochant dans la caisse T'en ai assez Te fait pleurer tandis le lait coule encore C'est un grand cadeau Quel douleur Quel scandal! Que reste à faire sauf te plaindre Faut trouver quelqu'un de blâmer Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Oublie ça, oublie ça Oh [balle de ping-pong rebondit] T'as un boulot, t'as une vie T'as une quatre portes et une femme infidèle T'as ces genials conduits en cuivre T'as un ex, t'as une chambre pour la nuit Quel canon Quelle prix T'as un corps comme une renarde J'adoore ce parfait air renfrogné, les yeux honnetes On doit t'acheter un Cadillac Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Hey! oublie, oublie, oublie, oublie, oublie ça Oublie ça, oublie ça Oh